• Après noël : comment faire sortir la graisse de la zone ?

    Il n’est pas rare qu’après Noël, quelques bourrelets de foie gras et doubles mentons de saumon fassent leur apparition. Certes (et Angela Merkel ne dira pas le contraire), ce n’est pas tous les jours qu’on cherche à retirer l’excédent de la graisse. Mais si le fait de ressembler à une dinde peut-être vécu par certains comme un bel hommage à la fête de la nativité, d’autres peuvent se sentir marron. Notre rédaction, qui s’est toujours illustrée par sa générosité et sa propension à distiller de précieux conseils souhaite, en ces périodes de fête, ne pas déroger à la règle.

    I/ surmonter l’addiction

    Dans un premier temps, il convient de ne pas continuer à grossir. Or, les spécialistes s’accordent pour dire qu’il faut, respectivement, à peine plus d’une semaine de foie gras, dix jours de saumon et une minute de chocolat pour commencer à ressentir les premiers symptômes de l’addiction. Il existe heureusement quelques techniques éprouvées pour faire face et se sevrer petit à petit.

    Si l’envie est trop forte, il ne faut surtout pas l’ignorer, il faut au contraire s’en servir jusqu’à l’écoeurement. Ainsi, quelques tartines de foie gras le matin avec une tasse de café sont fortement recommandées. De même, dormir avec un masque de saumon sur le visage peut se révéler extrêmement efficace pour lutter contre les rechutes.

    L’écoeurement visuel est également une option à envisager : quelques bons documentaires sur le gavage des oies ou les meilleures techniques pour vider les poissons peuvent avoir un effet bénéfique sur votre estomac.

    II/ La gastro est votre amie

    Une fois cette première étape franchie, il faut encore éliminer les graisses. Rassurez-vous : Noël a tout prévu : le mal et son remède. Prévoyez de passer les fêtes avec un maximum de monde pour augmenter vos chances de contracter une gastro et de rendre ainsi à Noël ce qui appartient à Noël. Une fois que celle-ci est déclarée chez un proche, débrouillez-vous pour dormir avec lui. Si c’est votre conjoint, tant pis, c’est Noël, vous pouvez bien faire un effort. Si c’est un autre adulte, demandez à votre conjoint l’autorisation de dormir à ses côtés. Si  c’est un enfant, demandez à ses parents. Dans tous les cas, accompagnez ledit proche aux toilettes à chaque occasion et restez le plus près possible de lui.

    Malgré tout, il se peut que vous ne réussissiez pas d’emblée à contracter le virus tant désiré. Pas de panique, certains gestes comme lécher la barre du métro ou la rampe des escaliers roulants dans des stations très fréquentées devraient vous aider à parvenir à vos fins. Seul inconvénient : dans ce cas, impossible de choisir le virus, vous pouvez tout à fait vous retrouver avec une bonne grippe. Avec un peu de chance, celle-ci sera suffisamment forte pour vous clouer au lit, vous mettre à la diète pendant quelques jours et, cerise sur la bûche, vous faire vomir vos résidus de réveillon à force de fièvre et de toux. Alors, vous pourrez dire que l’esprit de Noël a définitivement rendu l’âme

     

     

     

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